Depuis les récentes constatations, nous avons également dû nous rendre compte que l'ensemble du scandale Covid est beaucoup plus grotesque et plus important qu'on ne le pensait au départ. Apparemment, nos gouvernements et nos médias se sont enfoncés dans une sorte de situation désespérée dont ils peuvent difficilement sortir sans s'exposer à des conséquences juridiques massives. Les observations suivantes ont conduit à cette révision.
Inutilisabilité du test PCR : Après des investigations intensives, plus de 20 experts internationaux en PCR ont déterminé que le test Covid19 PCR ne peut pas détecter un virus, encore moins une infection, car ce test contient des erreurs si fondamentales qu'il est tout simplement inutile.
Si un avocat aussi renommé que le Dr Reiner Füllmich (avocat plaignant dans le scandale des émissions de VW) poursuit Drosten et le RKI parce que le test PCR Covid19 est totalement inutile et ne peut détecter aucune infection, on ne peut imaginer qu'un tel procès ait été intenté sans preuves vraiment solides. C'est un procès qui va probablement devenir le plus grand procès de tous les temps, ce dont les avocats sont bien conscients. Pourquoi un procès aussi coûteux serait-il entamé sans preuves irréfutables ? Voir cette interview (DE).
Isolat du virus manquant : Le mouvement des opposants offre à Christian Drosten près de 200 000 € (sous la direction de Samuel Eckert), s'il peut fournir la preuve scientifique de l'existence réelle du SRAS-Cov-2 (livraison d'un isolat réel). Pour mettre au point un test viral ou une vaccination, un isolat du virus - c'est-à-dire un échantillon biologiquement réel du virus - est toujours nécessaire. Jusqu'à présent, cependant, on n'ont pu trouver aucune preuve scientifiquement reconnue du virus en Europe ou aux États-Unis, si ce n'est le fait que des tests controversés réagissent à tout échantillon. Un test qui, selon l'acte d'accusation, n'est même pas en mesure de détecter le virus en raison des carences massives du produit. Ici se pose la question "Drosten à 180 000 euros".
Les vagues présumées d'infections au Covid19 correspondent exactement à l'absence de cas de grippe signalés depuis l'introduction du test PCR du Covid19. Si le test PCR de Covid19 est également sensible aux virus de la grippe (ce qui a été prouvé selon le Dr Reiner Füllmich), tous les foyers de Covid19 peuvent s'expliquer par une grippe entièrement normale, sans qu’il n’y ait jamais eu une véritable pandémie de Covid19.
Les causes réelles de la surmortalité (décès DE quoi, et non AVEC quoi) ne sont pas publiées par les autorités sanitaires. On soupçonne que la surmortalité n'est pas causée par le Covid19 mais par les décès de mesures. Donc les personnes qui meurent indirectement à la suite de ces mesures. Ce soupçon n'a jusqu'à présent ni été clairement confirmé ni réfuté.
Il semble que le gouvernement et les médias n'aient aucun intérêt à enregistrer les décès causés par ces mesures. Pour ce faire, les causes réelles de décès devraient être étudiées/enregistrées et publiées.
Les gens meurent chaque année. La plupart meurent de vieillesse. En moyenne, les habitants d'Europe occidentale meurent entre 80 et 85 ans. Ce n'est rien de nouveau, juste un processus naturel. On parle de sous-mortalité lorsqu'un nombre inférieur à la moyenne de personnes est mort dans un laps de temps. On parle de surmortalité lorsqu'un nombre supérieur à la moyenne de personnes décède dans un laps de temps.
Comme le taux de mortalité est toujours à peu près le même sur une période plus longue (par exemple 10 ans), une sous-mortalité suit presque toujours une surmortalité et vice versa. Si par exemple Protégé particulièrement bien les personnes âgées des maladies en été, de plus en plus de personnes âgées sont victimes de la vague de grippe ou de la vague corona, qui déferle dans tous les pays chaque automne depuis que nous, les humains, existons. Les virus Corona ne sont pas non plus nouveaux, ils étaient jusqu'à présent mal connus en langue vernaculaire.
Cette question est plus complexe que vous ne le pensez intuitivement. Une chose est sûre: plus le temps de visionnage est court, moins le résultat est significatif. C'est similaire aux données climatiques. Un seul jour ou un seul mois ne dit rien. Le bilan annuel est meilleur afin de prendre en compte toutes les saisons, qui peuvent alors être comparées aux chiffres d'expérience à long terme des dernières années.
Pour comparer les taux de mortalité dans différents pays, il est important d'ajuster les chiffres pour les facteurs suivants:
Population actuelle: les nombres absolus (par exemple, 50 000 / an; 500 000 / an) ne disent rien. Il est logique que 10 fois moins de personnes meurent dans un pays de 8 millions d'habitants que dans un pays de 80 millions d'habitants.
Croissance démographique: Si la population augmente (par exemple en raison de l'immigration), il est logique que davantage de personnes mourront également. Ce point n'est pas pris en compte dans les chiffres officiels
Répartition par âge de la population: plus il y a de personnes âgées, plus il y a de morts sans réelle surmortalité. Si par exemple Lorsque les baby-boomers atteignent l'âge de 80 ans et plus, il est logique que plus de gens meurent que les années précédentes.
C'est le problème actuel, pourquoi de nombreux pays entrent dans une surmortalité officielle et resteront également dans une surmortalité officielle pour les prochaines années. Les générations riches en naissances (1939-1945) arrivent maintenant à l'âge de la mort, ce qui n'est pas pris en compte dans les chiffres officiels de mortalité.
Source: Creditsuisse
Influences environnementales: Avec le réchauffement climatique, il y a une augmentation des conditions météorologiques extrêmes (avec des victimes météorologiques extrêmes), des vagues de chaleur extrêmes, etc. Les conditions météorologiques extrêmes sont de plus en plus fréquentes et il fait plus chaud en été. Les changements climatiques saisonniers deviennent également plus extrêmes. Tous les facteurs particulièrement gênants pour les personnes âgées, vulnérables et sensibles aux intempéries
Critique d'un medecin jurassien:
Jacques Gerber et l'«obligation {du port du masque} qui ne repose sur aucun argument scientifique concret» 28.08.2020
les faits - rassemblement de sources et infos sur 1 page pdf en allemand - cliquez ICI
Qu'est-ce que c'est une pandémie? Quelles critères doivent être remplis?
Nous, et les personnes avec qui nous avons parlés partagent le ci-dessous (points 1, 2 et 3):
1. L'agent pathogène doit être nouveau.
2. Il doit se répandre rapidement.3. Il doit être réellement dangereux
L'OMS a utilisée la même jusqu'en 2009 quand le 3e point (doit être dangéreux) a été supprimé de la définition.
Par conséquent un agent pathologène ne doit plus être réellement dangereux depuis l'adaptation de la définition par l'OMS. Même la grippe avec des virus qui mutent et se répandent rapidement, pourrait être appelé être une pandémie. voir aussi WHO.
Le chiffre avec la plus faible pertinence, mais avec l'impact le plus conséquent sur des décisions gouvernementales concernant les mésures covid.
Le chiffre des tests positifs indique le nombre de test dont le résultat est positif. C'est tout. Si on teste une personne plusieurs fois, cela sera indiqué comme plusieurs tests avec les résultats postifs / négatifs en fonction de chaque test. Qu'est-ce qu'on teste? Le test utilisé, le test PCR "ne donne pas d'inciation certaine d'une agent pathologène" (page 2 de la notice Swissmedic du 30 mai 2020.
Le nombre de tests positifs ne répond pas à la question combien de gens sont réellement infectés et/ou en sont tombés malades. Pourquoi pas?
Celui qui est infecté, n'est guère malade. Celle qui est infecté, mais l'ignore car elle ne remarque rien (système immunitaire ;)) ne va pas se faire tester. Donc on teste ceux et celles qui ont des sympthomes characteristiques ou en contact direct avec une personne laquelle a été testé positif. Selon les informations scientifiques connus à ce jour, la plupart des infectés ne sent rien ou ont des sympthômes légères de COVID-19, le chiffre caché est probablement très important. Les dimensions du nombre inconnu des infectés est - en fonction des sources - estimé à 80-99% dans les pays industrialisés. Si la plupart des infectés seront confrontés à une évolution critique de la maladie, ce chiffre sera très faible, voir inexistent car dans ce cas presque chaque infecté consultera le medecin plus tôt ou tard et sera à ce moment testé et le résultat répertorié.
Un chiffre inconnu dans l'ordre de grandeur de 80-99% indique que l'iceberg est 5-100x plus important que la pointe qu'on mésure. Nous ne savons donc pas, si l'iceberg est 5x ou 100x plus important que la pointe. Certain est seulement que le chiffre inconnu est moins important si on test davantage.
L'iceberg ne s'agrandisse pas réellement si on le mésure plus profond!
Quelles avantages ou valeur ajoutée de connaître la taille réelle de l'iceberg avec les moyens importantes et chers, or que la partie caché de l'iceberg est relativement inoffensive? Nous revenons sur le sujet plus tard.
Jusqu'à mi-mars 2020 des tests rapides n'éxistaient pas encore, seulement des tests complèxes pour trouver une trace du virus. Par conséquent, peu de personnes ont été testées jusqu'à mi-mars (la pointe de l'iceberg), car il n'était simplement pas possible de faire plus de tests.
Depuis la disponibilité des test rapides (quelques jours avant le lockdown) la quantité des tests possibles par jour ont été augmentés significativement. En Suisse il s'agit d'environ 6'000 test/jour depuis mi-mars ou encore env. 10'000 test/jour depuis début avril. Au début (mi à fin mars) il y a encore eu des soucis concernant la livraison des kits de test.
Depuis l'introduction des tests rapides il était donc possible d'augmenter les capacités de tests par rapport à début mars et on peut tester significativement plus ce qui résulte logiquement dans des chiffres plus importants des cas positifs - sans qu'il y a eu plus de personnes infectées. Seulement parce qu'on a maintenant les moyens de mésurer l'iceberg à une plus grande profondeur, il n'agrandit pas.
Ne personne sait si l'iceberg fait 5x ou 100x la taille de la pointe qu'on a mésuré. Cet élément inconnu est soumis à une fluctuation permanente en fonction de la motivation de la population à se faire tester. Depuis qu'il y a des tests gratuits, les cas positifs sont à nouveau plus importants - c'est logique.
La plupart des infectées n'ont pas ou que des très légères symptômes pendant leur système immunitaire s'attaque sans problème au virus. Puis c'est donc qu'une petite partie des personnes infectées qui s'annonce pour se faire tester. Même si toutes les personnes avec des symptômes légèrs se font tester, le nombre des tests positifs augment mais sans donner une indication sur la taille effectif de l'iceberg.
La peur - quand tu nous tiennes: Dès qu'il y a une augmentation des cas testés positifs dans une région (peut importe la raison), la population éprouve de la peur et plus de personnes se font tester "pour être sûr(e)". Le résultat est une augmentation des tests positifs - et donc des cas repértorié, ce qui motive d'autres à se faire tester également, et ainsi suite.
C'est ainsi que le nombre des tests positifs peut grimper significativement après quelques jours/semaines sans la répartition du virus a réellement été changé. Il en résulte donc une épidémidie local "sur papier".
Pendant qu'il y a une augmentation importante des tests par semaine, les tests positifs augmentent aussi lentement après avoir été à un niveau relativement faible.
Le taux des tests positifs est depuis longtemps sur un niveau bas.
Le taux des tests positifs ne peut pas être 0% car il n'est pas possible avoir un taux plus bas que celui des faux-positifs.
Puis le test PCR utilisé peut réagir à d'autres virus de corona p.ex. ceux fréquents lors des périodes de refroidissements chaque automne. Des virus corona existent depuis des siècles et sont répandus chez homme et animaux.
Peu des cas sont hospitalisés. Rare sont ceux aux soins intensifs.
Il n'est pas connu, combien des personnes aux soins intensifs y sont à cause du COVID-19.
Si on teste p.ex. 2'000 personnes lesquelles sont hospitalisés pour autres maladies / accidents, et on part d'un taux de 0.5% des faux-positifs, il aura 10 cas de COVID-19 à l'hopital selon les résultats de test...or dans notre exemple ces personnes sont ni infectés, ni à cause du virus à l'hopital mais on les trouves dans les statistiques.
L'exemple ci-dessous des cas positifs Suisse des mois de mars et avril montre le problème de l'iceberg:
A voir: graphique
Phase 1) jusqu'au 14.3.:
Phase avant la disponibilité des tests rapides. Peu de personnes ont pu être testées en raison des moyens restreints pour ce faire.
Phase 2) 15.3. - 31.3.:
Dans la nuit avant le 13 mars, le test rapide PCR de l'entreprise phramaceutique Roche a été autorisés (autorisation par les autorités compétentes américaines)
Quelques jours seront nécessaires avant de pouvoir l'utiliser à grande échelle en Suisse. Un tel changement ne peut pas avoir lieu dans un jour, ce qui est compréhensible.
A partir de ce moment, les chiffres grimpent beaucoup jusqu'à ce que les tests sont disponible partout en Suisse.
Phase 3) depuis le 01.04.
La capacité de test par jour est augmenté de 6'000 à 10'000 tests/jour. Avant l'augmentation des tests, la tendance des cas positifs était en descente.
Graphique en bas (screenshot du 8.4.2020)
Depuis le 8.4. le nombre de cas avant le 8.4. sont affichés comme montre ce graphique. Les données ont étés réparties entre le 7.4. et 8.4. ce qui nous montre une évolution différente.
L'OFS n'a pas répondu à la demande d'expliquer ces différences et changements malgré plusieurs rappels. Des explications possible sont dont des hypothèses.
Se tenant aux faits, nous constatons que les deux augmentations importants des capacités de tester ne sont plus visible à traver des cas positifs pendant la 1ère vague.
source: SRF
Ce graphique interpelle les lecteurs depuis le 27.08.
L'augmentaiton des cas positifs se fait par l'augmentation importante du nombre de tests puis également avec les jeunes qui seraient ceux qui répandent la "pandemie" ce qui semble confirmé par le nombre de cas positifs. En printemps, la part pro-ratée de personnes âgées testé postif a été plus important en comparaisons avec aujourd'hui.
Il a été indiqué en mars/avril qu'on teste ceux avec des symptômes fortes et aujourd'hui aussi ceux avec peu ou sans symptômes.
Quelle groupe d'âge a des fortes symptômes? Les générations âgées. Qui a beaucoup moins souvent de symptômes et très rarement des symptômes fortes? Les jeunes. Le fait qu'on a testé plus de personnes âgées positif a un lien avec les fait que des personnes avec de faibles symptômes n'avaient pas été autorisées à se faire tester car il n'y a pas eu assez de tests.
Les jeunes ne sont pas ceux qui augmentent le nombre de cas absolu - ils n'ont simplement pas été répertoriés avant.
Chacun doit porter un masque afin de ne pas répandre le virus, même s'il ne le porte pas. Devoir en porter sans être infecté, est le cas de probablement 99% de la population.
Cette information accompagne même la notice d'utilisation des masques qu'on voit. Un virus et beaucoup plus petit que les pores du tissue du masque. C'est comme porter un égouttoir contre la poussière. Les masques d'hygiène standards sont inefficace pour se protéger d'une infection. Il sont même suspecté augmenter le risque d'infection car en touchant le masque d'éventuelles virus peuvent y être placés lesquelles on inspire à la prochaine occasion.
Le masque diminuent la diffusion du virus par une personne infectée, p.ex. quand elle tousse. Que dirait-on si 0.1% serait porteur d'un virus et par conséquences tous (y compris les autres 99.9%) devraient porter une masque afin que moins de virus seront émis or qu'ils ne sont pas infectés? La disproportionalité d'une mésure pourtant sagement suivi par la plupart des gens actuellement.
Lors du port obligatoire de masque, il y a des doutes que la propargation diminue - au contraire, les répandre sur le masque peut avoir plus de conséquences que le maque peut protéger en diminuant les goutes qui passent le masque. Porter un masque ne baisse pas le risk d'infection mais l'augmente (à cause des infections par contact) selon la maison d'édition Thieme (litérature spécialisée pour le médical) et le l'institut allemand Robert Koch - référence pour la santé public, comme explique cette vidéo en allemand (premiers 10 minutes) L'obligation du port de masque est suspecté de causer plus de propagation par contact que de protéger par retention des goutelettes.
Infection par contact - l'intérieur du masque
Infections par contact avec le virus - l'extérieur du masque
Si on porte un masque sur le visage et p.ex. on tousse, propage une partie du virus à l'intérieur du masque puis après quelques minutes/heures le visage est contaminé. Après avoir enlèvé le masque puis lavé/désinfecté les mains, on se touche à nouveau le visage et on propage le virus à nouveau. Le tout en se croyant bien protégé et propre.
Le virus traverse en grande partie le masque (la taille est plus petit que les pores du masque) et reste partiellement sur l'extérieur du masque.
Les mains qui viennent d'être lavées /désinfectées sont donc contaminées la prochaine fois qu'on touche le masque - la transmission par contact continue.
Inhalation du virus qui a été étalé sur l'extérieur du masque
Infection par contact - sur le visage
Si, étant une personne non-infectée, on touche un objet contaminé et ensuite avec la même main son masque - on le contamine à l'extérieur. Lors qu'on inspire, le virus peut donc traverser le masque et atteindre directement sur les muqueuses.
C'est le masque qui positionne le virus très proche et directement devant les muqueuses, où ils ne seront pas sans le masque, car sans masque on ne touchera pas le masque en permanence pour le (re)positionner.
Si une personne en bonne santé toche avec une main contaminée son visage pour ajuster ou mettre son masque, le virus peut être dispersé sur tout le visage. Sans masque, ceci sera moins le cas.
Si le résultat du test est positif, la personne concernée ne doit pas forcement être infectée. Aucun test n'est sûr à 100% et chaque test produit un certain taux de faux résultats. Dangéreux (pour les personnes infectées) sont les test avec un résultat faux-négatif. Les personnes infectées ne sont pas détectées et ne pas soignées.
Embêtant pour la personne concernée et très embêtant pour le peuple sont des résultats faux-positifs. Elles causent peur et quarantaine à des personnes qui ne sont pas infectées puis poussent le nombre de cas et donc le taux des test postifis (rappel: chiffres élèvés --> mésures plus sévères pour le peuple).
Imaginons que le test est fiable à 99%. Le taux des faux-positifs est donc de 1-2%. Avec 14'000 tests par jour (valeur actuelle en Suisse), chaque jour 140-280 tests donneront un résultat faux-positif et seront indiqués simplement comme tests positifs. Puis ceci pour des gens qui ne sont pas infectés.
Voir aussi l'interview (en allemand, dsl) du 4.9.2020 Interview mit Sucharit Bhakdi (ca. à partir de la minute 20)
Donc si nous testons plus, nous aurons plus de résultats faux-positifs.
En plus, le test PCR ne détecte pas le virus mais un certain enzyme du virus, lequel existe dans autres virus également. Le test PCR ne donne qu'un indice qu'il s'agit de SARS-COV-2 mais pas une preuve définitive. Plus on teste, plus nous aurons une autre sorte de résultats faux-positifs sur d'autres virus qui contiennent le même enzyme.
Quand les chiffres en juin ont été très bas (en dessus de 30/jour), il semble probable que les cas positifs sont majoritairement des résultats faux-positifs - les personnes testées positifs ne sont pas forcement infectées.
Concernant la spécificité et sensitivité des tests PCR, nous n'avons pas trouvé de chiffres scientifiques concrèts. Seulement des estimations entre 95% et 99.7% sont discuté parmis les experts. C'est-à-dire un taux des faux-positifs entre 0.3 et 5%.
Des tests anticorps doivent informer, si une personne a été infecté avec SARS-COV-2 et est donc immun. Si plus que 65% de la population le sont, on parle d'immunité collective. Au plus tard à partir de ce moment, le virus ne peut guère se propager. La Suède a ciblé l'immunité de son peuple, d'autres pays ont un taux élevée malgré eux (pauvreté,...).
Actuellement il semble que le test anticors contre SARS-COV-2 est peu fiable. Le virus est sans danger pour la plupart des infectés. Le système immunitaire qui n'a pas besoin de se battre, produit très peu d'anticorps et donc la mésure à l'aide d'un test est compliqué / pas possible. Beaucoup de personnes semblent disposer d'une immunitée "en arrière plan" contre le virus ce que fait qu'il n'y a pas besoin de "battre"assez longtemps pour produire assez d'anticorps.
Les résultats des tests anticorps ne sont pas un indicateur fiable pour l'immunitée d'un groupe car beaucoup de personnes ont trop peut d'anticorps pour enclencher des tests anticorps. Ils sont donc immunisé ou partiellement immunisé malgré un résultat négatif lors d'un test.
Dans tous les pays (même les fortements concernés, même sans mesures de protection), moins que 0.07% sont mort à cause ou avec Covid19.
On compte tout ceux qui sont testé peu avant/après leur décès, sans considération de la raison du décès (virus, accident de voiture, suicide, crise cardiaque, décès natuel, etc etc.
source: ISBN 978-3-99060-191-4
Dans tous les pays lourdement touchés, moins que 700 morts part 1 million d'habitants ont été enregistrés. Ceci correspond à 0.07% de la population.
Avec une espérence de vie d'environ 100 ans, 1% de la population meurt lors d'une année normale (1/100).
Pendant qu'on force des mesures restricitves, et les décès Covid sont annoncée régulièrement (env. 1-2 personnes par jour), plus que 30fois de personnes décèdent également sans qu'on parle d'eux.
Quel serait ou sera éventuellement la mortalité en Suisse si tous les mesures seront lèvées? On peut oser l'hypothèse à l'aide des chiffres des hotspots du monde avec pour résultat: moins que 0.1% décèdera de Covid-19, partant du principe que les hôpitaux suisses sont au moins aussi bien que ceux en Italie ou Suède. Ce sont moins que 1/10 des décès en raison du mouvement naturel de la population.
La Grande-Brétagne dispose, en principe, d'un bon système de santé, mais deepuis l'annonce du Brexit, il manque du personnel dans les hôpitaux de l'île, lequel venait avant Brexit de l'espace européen.
En Italie, plusieurs éléments nous interpellent car on réfusait protéger les EMS. On souhaitait ne pas isoler les personnes âgées.
Il s'y rajoute qu'il n'est pas commun d'incénérer ses défunts et par conséquent peu de crématoriums. Quand le gouvernement a ordonnée que tous les cadavres doivent être incénérer, les corps pour lesquels il n'y a pas eu de tests Covid-19 négatif ont dû être amener au crématorium or il n'y en a que peu. Le transport a été assuré par le militaire.
De voir des tombes creusées à l'aide des excavatrices ou pelles motorisées est monnaie courrante et logique si on réflichi à la force nécessaire pour ce faire. En Suisse, les excavatrices sont utilisées depuis des dizaines d'années.
SARS-COV-2 ne peut pas être comparé avec la grippe espagnole mais ils sont souvent comparés. La grippe espagnole est souvent cité comme référence d'une situation qu'on ne souhaite plus jamais rencontrer en référence au nombre de morts.
Il est important de savoir que la grippe espagnole s'est déclarée à la fin de la 1ère guerre mondiale. Cette épedemie de grippe a donc eu lieu quand malnutrition et carences en vitamines ont été très répandues et beaucoup de personnes ont été de mauvaise santé - aussi sans la grippe. Pendant la guerre et pendant un certain temps après, la nourriture a été rare et des legumes et fruits frais encore plus rare. Les maisons ont mal été chauffées et dans beaucoup l'état des habitations était misérable, les conditions sanitaires précaires ce qui ouvre grande la porte aux maladies.
Il s'y ajoute qu'un vaccin problématique a eu lieu peu avant lequel semble avoir renforcé des effets de la grippe espagnole et causé des décès supplémentaires.
Une autre information utile est qu'il y a pas encore eu d'antibiotique à ce moment. Ceux qui ont contracté une bactérie dangéreuse ont souvent eu de très mauvaises cartes pour survivre.
Puis on était loin d'un environnement permettant de faire des tests comme aujourd'hui. Seul le nombre de décès pendant cette période a été documenté - mais sans distrinction qui est décèdé d'un virus, de la malnutrition, famine, d'une infection bactérielle.
Le test PCR ne détecte pas le virus SARS-COV-2 mais fournit un indice qu'il s'agit probablement de ce virus, sans certitude - il peut s'agir d'un autre virus de la même famille qui fait réagir le test. Au début, ces tests ont été une solution pragmatique, une solution avec les moyens de bord pour tenter de gagner en visibilité. Aujourd'hui, des mois plus tard, il semble très douteux de forcer la guarantaine et d'autres mesures sans moyens plus adéquates et concrète d'existence du virus n'est pas défendable.
Depuis des éternités le virus corona existe chez l'homme et l'animal. Une grande partie des vagues de refroidissements est causée par eux. Le virus SARS-COV-2 est un virus corona un peu plus fort - puis sans être plus dangereux qu'une lourde grippe.
source (encore en allemand, dsl) Interview avec Prof. Sucharit Bhakdi (part 1) & Interview avec Prof. Sucharit Bhakdi (part 2)
Selon différent virologues un vaccin contre SARS-COV-2 peut utile car la part de notre système immunitaire lequel est "en charge" de nous défendre contre la famille des coronavirus, n'est pas "vaccinable". Le dévelloppement technique d'un vaccin n'est pas le problème, mais la part de notre système immunitaire qui peut être vacciné ne joue qu'un rôle annexe pour combattre le virus Corona.
Beaucoup d'autre virus (rougeole, variole, grippe) sont soumis à un autre régime. Ces virus peuvent être combattu par une autre partie du système immunitaire, une partie qui peut être "vaccinable". Nous vivons depuis longtemps avec les virus corona et ont, selon des virologues, une immunitée de groupe sous forme d'immunité croisée. Ceci explique pourquoi seulement une petite partie des personnes infectées est confronté à une évolution plus sérieuse du Covid-19.
C'est comme un restaurant qui tourne mal. A l'origine n'est pas la qualité de la nourriture mais l'ambience est pourrie et on investi dans une nouvelle cuisine et de nouveaux cuisiniers - alors que la qualité a déjà été bonne. Le restaurant n'aura jamais du succès pour autant que les gens ne n'y sont pas à l'aise. Une petite amélioration si la nourriture est excellente est possible mais ceci ne peut pas influer l'ambience. La plupart des restaurants à un souci de qualité de la nourriture (trop cher pour les repas fournis) et non d'ambience.
Le vaccin corona fonctionnera similaire. Beaucoup d'argent est investi dans des mesures lesquels ne sert que peu car la partie du système immunitaire, lequel combat les virus corona, n'est pas "vaccinable". Les explications scientifiques de virologues se trouvent dans l'oeuvre de Sucharit Bhakdi (ISBN: 978-3-99060-191-4) à partir de chiffre 164 (livre en allemand). Voir aussi la vidéo actuelle de l'auteur du 4.9.2020 Interview
Il y a une base legale pour sanctionner le non-respect des mésures arrêtées MAIS même les experts, donc juristes, débattent l'existence d'une base légale suffisante. Les décisions et ordonnances de l'état doivent être proportionnel. Toujours. Comme les sanctions doivent être apte. La propotionalité est un principe juridique.
La question comment les restrictions actuelles ou sanctions annoncées/prononcées seront accueilli auprès du tribunal fédéral, n'est pas (encore) répondue.
Il n'y a peu d'information sur des procédures légales en cours de ceux qui refusent de de confondre. Les plaintes et recours dont nous avons connaissance, semblent être traités avec une vistesse très très prudente et on se demande s'il n'y a pas l'attente de l'un sur l'autre afin de voir qui bouge. Ceci ne peut pas être prouvé, mais l'observation interpelle.